La rhinoplastie, une pratique de plus en plus courante !

L’une des interventions de chirurgie esthétique les plus courantes est aussi l’une des plus complexes : le lifting. La rhinoplastie, qui consiste à corriger les défauts esthétiques du nez, a des exigences très spécifiques et ne doit être pratiquée que par des chirurgiens esthétiques qualifiés. Cliquer ici pour des conseils avant une rhinoplastie.

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De nombreuses personnes ont des problèmes avec leur nez parce qu’il est anormalement long, court, large, bosselé ou déformé après un accident. Cela fait de la rhinoplastie un motif fréquent de consultation en chirurgie esthétique. La rhinoplastie à des fins esthétiques vise à améliorer l’apparence du nez tout en maintenant l’harmonie du visage.

Examen de la légitimité de la demande

Avant de faire quoi que ce soit pour préparer l’opération, le chirurgien doit examiner attentivement les raisons pour lesquelles le patient souhaite subir cette intervention. Le Dr Fayçal El Kouhen, chirurgien esthétique, dit : « Il faut savoir comment se dissuader d’une rhinoplastie. » Certains de mes patients perdent leur temps à essayer d’atteindre un standard de beauté inaccessible. D’autres font des demandes infondées ou inatteignables. Il ne faut pas ignorer une peur des parties changeantes du corps qui peut être surmontée par l’exposition. L’évaluation du profil psychologique du patient est donc la première étape d’une rhinoplastie, et l’expertise du praticien est cruciale à ce stade. Il est également essentiel de créer un climat de confiance et de fournir au patient des informations claires et complètes. Avant toute chose, une rhinoplastie est une intervention chirurgicale qui nécessite une anesthésie et une période de récupération. Les discussions préopératoires permettent de clarifier le plan chirurgical, et des outils comme les logiciels de morphing aident à s’adapter à ces changements. « La revue des images est essentielle car elle permet de travailler sur un projet. De plus, il a un « intérêt médico-légal », assure le Dr Fayçal El Kouhen.

Au cours de ces consultations, le médecin mesure l’épaisseur et l’élasticité de la peau du patient, réalise un examen nasal endoscopique pour évaluer la santé de la muqueuse nasale et des sinus, et procède à un examen approfondi de la pyramide nasale pour établir les procédures nécessaires et la viabilité du projet. Pour préserver l’intégrité du visage, il doit d’abord considérer le visage dans son ensemble. C’est là que réside la clé d’une rhinoplastie réussie.

Diminution ou agrandissement

La réduction de la taille du nez (rhinoplastie) ou l’agrandissement du nez (rhinoplastie) sont les deux interventions les plus courantes. La première vise à corriger les défauts du visage, tels qu’un nez trop long ou trop large, des narines trop larges, une pointe tombante ou un nez autoritaire. Le cartilage, l’os ou la peau sont les cibles de l’intervention. Pour corriger un angle nasofrontal disproportionné, par exemple, le chirurgien enlève l’excès de cartilage dans cette zone. Pour enlever la bosse du nez, le chirurgien peut utiliser une râpe ou un ostéotome (scie à os), en fonction de la taille de la bosse. Les praticiens utilisent une technique appelée « mobilisation volontaire des fractures nasofaciales et réalignement ossiculaire » pour réduire la largeur de leur nez dans le tiers supérieur.

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La rhinoplastie avec accent sur l’augmentation est pratiquée pour corriger des défauts (comme un nez trop court ou un nez tordu) en ajoutant du cartilage ou de l’os. Dans le cas des greffons osseux, c’est le patient qui devra prélever les greffons, en commençant par les os pariétaux ou iliaques. La plupart des cas de greffons cartilagineux ont pour origine la cavité nasale ou le conque auriculaire. La chirurgie implantaire n’est envisagée que si la réalisation d’une greffe est impossible.

Comment se déroule l’intervention

L’intervention est souvent pratiquée sous anesthésie générale, tandis que l’anesthésie locale combinée à une sédation est une option. La plupart des incisions pratiquées par les chirurgiens sont faites à l’intérieur du nez afin d’être moins visibles. Pour des raisons de discrétion, certaines interventions prévoient des incisions externes au niveau de la columelle (lambeau de peau à l’extrémité de la cloison nasale) ou du pli des ailes du nez. A partir de ces incisions, le praticien peut décoller la peau pour atteindre la charpente osseuse et cartilagineuse. Une fois l’intervention terminée, le nez se verra appliquer un pansement modelant, et des mèches seront insérées dans les voies nasales. La posture de l’escargot est affectée par l’intervention utilisée.

La récupération n’est pas instantanée, même si la douleur postopératoire est minime, et le repos est fortement conseillé dans les jours qui suivent l’intervention. Pour pouvoir respirer par le nez, les mèches doivent être retirées, ce qui est un processus douloureux qui peut prendre de un à cinq jours. Des ecchymoses et un hématome au niveau des pieds sont fréquents. Au bout de 5 à 8 jours après la pose d’une attelle, celle-ci peut être remplacée par une plus petite.

Généralement, l’expulsion a lieu le lendemain d’une intervention, et 8 à 10 jours d’exclusion sociale sont inclus dans celle-ci.

Vous constaterez une différence esthétique au bout de deux à trois mois. Le résultat final escompté sera atteint entre six mois et un an plus tard.

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